Depuis qu’Audrey avait découvert, il y a quelques années, l’existence de ce bijou, c’est un accessoire qui la fascinait. Si elle imaginait sans peine la manière de le porter, elle n’avait pas trop idée des sensations qu'il permettait d'éprouver, de sa symbolique et de ses usages.
Après avoir beaucoup fantasmé sur l'idée de posséder un tel objet, elle se décida à passer à l’acte d’achat. Elle
s’était déjà rendue une première fois dans la boutique spécialisée afin de constater
l’étendue du choix dans les différents modèles. La plupart d’entre eux étaient
en métal poli, avec une extrémité arrondie à placer dans l’anus tandis que
l’autre bout était agrémenté d’une finition à prétention esthétique : pierre
précieuse (ou plutôt imitation…), plume, voire queue en fourrure.
Cette fois, il n’était pas question de seulement les admirer, mais de demander conseil à la vendeuse afin de choisir celui qui deviendrait son fidèle compagnon.
Il n’y avait que peu de monde ce matin-là dans la boutique et les vendeuses étaient affairées à mettre divers produits en rayon. Elle s’approcha de la vitrine dans laquelle les bijoux se trouvaient. Car tous les bijoux se trouvaient dans une vitrine du même type que celle que l’on pouvait trouver dans les bijouteries. Était-ce pour accentuer le côté « bijou » de l’objet ou bien de manière plus pragmatique afin d’éviter la démarque inconnue ?
Après plusieurs minutes
passées devant la vitrine à se demander lequel de ces bijoux allait bien
pouvoir rejoindre sa petite collection de joujoux, elle vit une vendeuse arriver et lui proposer ses conseils. Audrey ne refusa pas cette aide précieuse, bien au contraire.
Elle expliqua alors à la
vendeuse son intention d’acheter un bijou d’anus mais ne pas savoir lequel
choisir. Elle ajouta que si elle imaginait sans peine la façon de le porter, elle ignorait en grande partie les jeux qu'il permettait et le ressenti éprouvé.
La vendeuse, visiblement
très au fait de son sujet, lui expliqua qu’en plus d’être un objet d’ornement, comme
le sont les bijoux classiques, il avait un effet séducteur et excitant auprès des
hommes. Il signifiait aussi l'appartenance à l'homme qui vous l'offrait. Par
ailleurs, s’il était conservé durant l'acte sexuel, il pouvait renforcer l'effet de
plaisir et d'orgasme. En effet, ce bijou est un authentique petit plug ; une fois la « goutte d'eau » délicatement insérée dans l'anus, elle exerce sur la partie intérieure de la paroi vaginale une pression ressentie par le sexe du partenaire.
Elle ajouta qu’une des
autres fonctions de cet accessoire était de préparer les muscles à d’autres
pénétrations, ces bijoux ayant également un rôle fantasmatique en signalant de
manière imagée et évidente le désir de faire de l’anus un lieu de plaisir.
Audrey en savait désormais un peu plus
sur l’usage de ce bijou et cela la confortait dans sa volonté d’en acquérir un exemplaire. Elle interrogea ensuite la vendeuse sur le modèle
à choisir. Cette dernière lui expliqua que le diamètre et le poids était
fonction de chacun et de ses habitudes en matière de rapport anal mais que, quel que
soit le modèle choisi, elle serait surprise par la douceur de ses courbes et par
son confort. En revanche, elle déconseillait de porter le bijou lors de
stations assises prolongées, la pierre située à l’extérieur pouvant
être quelque peu inconfortable.
Après de longues minutes d’hésitation, Audrey porta son choix sur un modèle classique de taille moyenne en
métal poli surmonté d’un strass. Après avoir réglé l’article puis remercié la
vendeuse, elle enfouit le précieux bijou dans son sac à main et sortit de la
boutique. Elle n’avait maintenant plus qu’une envie : l’essayer.
Mais il lui faudrait pour cela attendre son retour à la maison…
Une fois arrivée à son
domicile, elle ne fut pas longue à se déshabiller et
aller prendre une petite douche afin d’être prête à accueillir son nouveau joujou.
Elle le réchauffa d’abord dans ses mains pour limiter la sensation de froid
du métal de la « goutte d’eau ». Cela lui permettait ainsi de
s’approprier l’objet. Une fois qu’elle eut considéré qu’il était suffisamment
réchauffé, elle s’allongea sur le lit, releva les jambes et entreprit
d’enfoncer la partie ovale non sans l’avoir au préalable lubrifiée à l’aide de
sa salive. Elle fut surprise par le contact doux et lisse de l’objet.
Réchauffé par ses mains, il était à la température de son corps. Elle n'eut pas à trop appuyer pour le faire entrer. Elle imaginait sa rosette s’ouvrir délicatement
au passage le plus large de la « goutte d’eau ». Une fois en place, le
bijou se positionna naturellement comme s'il faisait partie de son corps.
Elle se retourna, se mit
en levrette et commença à jouer avec son nouveau joujou. Elle appuya légèrement sur la pierre, puis effectua de légers mouvements de rotation avec son doigt ; elle sentait la partie renflée remuer dans son corps et appuyer sur la paroi de son intimité de façon fort agréable. Puis, elle le fit délicatement sortir, puis rentrer, sortir à nouveau et ainsi de suite. A chaque passage de la
partie la plus large, son sphincter se dilatait délicatement, sans aucune
douleur. Les premiers va-et-vient furent
assez rapides. Ayant apprivoisé l’objet, elle ralentit le rythme jusqu’à
s’arrêter à l’instant où la partie renflée du bijou franchissait son anus. Sa
rosette restait ainsi ouverte, offerte.
Après avoir épuisé son
envie de jouer, elle se releva et alla chercher un miroir. Elle souhaitait
pouvoir admirer l’effet que cela produirait le soir même à Guillaume
lorsqu’elle lui montrerait le résultat de ses achats.
Elle retira le bijou de la
même manière qu’elle l’avait introduit, sans douleur. Ce n’était que du
plaisir. Elle le lava, le rangea soigneusement en attendant impatiemment le
soir où elle pourrait le présenter à son homme.
A suivre...
G.
A suivre...
Encore une belle histoire, pleines de rebondissement, j'ai hâte de connaître la suite. Camerone1831
RépondreSupprimerPatience, patience... L'attente renforce le désir !
RépondreSupprimerj'adore ce récit
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