Le bijou (seconde partie)

    
     Lorsqu'il rentra du travail, elle ne mit pas longtemps pour lui annoncer que, ce soir, elle souhaitait sortir en amoureux et qu'elle avait réservé une table au restaurant vietnamien. Le temps de prendre une petite douche, Guillaume fut rapidement prêt pour accompagner sa chère et tendre épouse au restaurant.

      En ce soir de semaine, le restaurant ne faisait pas le plein. Seuls quelques clients avaient bravé les premiers frimas de l’automne pour venir savourer la cuisine vietnamienne.  Audrey et Guillaume furent installés à une petite table dans l’un des angles de la grande pièce. Après qu'ils eurent passé commande, le serveur leur apporta deux flûtes de champagne accompagnées des traditionnelles chips de crevettes. C’est à ce moment qu’Audrey s’éclipsa quelques instants pour, dit-elle, "se rafraîchir".

      A son retour, avant de s’assoir, elle s’approcha de son mari, l’embrassa dans le cou et glissa très discrètement dans la poche de son blazer ce que Guillaume prit pour un mouchoir. Il ne réagit pas ; Audrey s’assit, prit une gorgée de champagne et l’invita à vérifier le contenu de sa poche. Lorsqu’il y plongea la main, il comprit immédiatement qu’il ne s’agissait pas d’un mouchoir. Audrey lui susurra alors à l’oreille qu’elle venait d’ôter son string et qu’il l’avait dorénavant dans la poche.

      Un frisson parcourut le corps de Guillaume. Il aimait particulièrement les initiatives coquines de son épouse et celle-ci le ravissait. Rien qu’à l’imaginer nue sous sa robe, il sentait monter le désir. Elle n’en dit pas plus, laissant l’apéritif se dérouler comme si de rien n’était. Après avoir terminé sa flûte, Audrey s’approcha à nouveau de Guillaume et dans un souffle lui dit que l'absence de culotte n'était pas la seule particularité de sa tenue : sa précieuse petite rosette était actuellement ornée d’un magnifique bijou d’anus. Évidemment, vu le lieu, il lui faudrait patienter jusqu’à leur retour à la maison pour le découvrir...

      Les yeux de Guillaume se mirent à briller ; il était maintenant très excité et son pantalon réprimait difficilement son érection. Décidément, il adorait ce genre de surprise. Le repas qui suivit fut délicieux mais nos deux coquins trouvèrent que le service n’était pas assez rapide à leurs yeux tant ils étaient pressés l’un et l’autre de rentrer.

     Après avoir réglé l’addition et regagné leur véhicule, Guillaume insista pour qu’Audrey se mette à genoux sur le siège et lui présente son généreux fessier afin qu’il puisse contempler le bijou. Elle se fit un peu prier mais finalement accepta. Dans la pénombre, Guillaume vit briller les facettes de la pierre sans pouvoir totalement l’admirer. Cette petite frustration lui fit presser le mouvement et il démarra sur-le-champ.

      Arrivés à la maison, ils descendirent du véhicule et entrèrent rapidement. Après avoir refermé la porte derrière eux, ils se précipitèrent dans la chambre à coucher. Guillaume invita Audrey à ôter sa robe sans plus attendre et se mettre en levrette sur le lit. Cela fut fait en un instant, et Audrey, uniquement vêtue d’une paire de bas noirs et de ses escarpins, se retrouva à quatre pattes sur le lit, remuant lascivement ses fesses devant son mari.
      Sans même prendre la peine de se déshabiller, Guillaume, tel le loup de Tex Avery à la langue pendante, ouvrit sa braguette, extirpa son sexe en érection et l’introduisit sans autre forme de procès dans le sexe d’Audrey. Ce dernier était dégoulinant de sécrétions, preuve que l’excitation de son épouse devait durer depuis le début du repas, voire même depuis l’introduction du bijou…

      Commençant un énergique va-et-vient, Guillaume pouvait sentir derrière la muqueuse du vagin un objet dur. Il s’agissait bien entendu de la partie ovale de l’engin. De temps en temps,  il se retirait, contemplait l’extrémité du bijou, puis reprenait son va-et-vient. Après un long moment, Guillaume décida de se retirer et commença à jouer avec ce nouvel objet. Il prenait ainsi plaisir à le sortir délicatement, mais pas totalement, s’arrêtant juste au moment où la partie la plus renflée était sur le point de sortir, dilatant ainsi l’anus au maximum, puis il rentrait l’objet à nouveau. Il recommença ainsi de nombreuses fois.

      Finalement, n’y tenant plus, Guillaume approcha sa bouche du sexe d’Audrey pour goûter ses saveurs tout en continuant à jouer avec le bijou. Il ne fallut que quelques secondes pour qu’elle arrive à l’orgasme dans un cri. Audrey toujours en levrette, Guillaume s’introduisit immédiatement dans son sexe, ressentant encore les dernières contractions de l’orgasme et jouit avec force.

      Épuisés, repus, les deux amants s’écroulèrent ensuite sur le lit, côte-à-côte, puis s’enlacèrent tendrement. Après quelques minutes, Audrey se leva, se dirigea vers la salle de bain pour retirer et laver le bijou. Lorsqu'elle revint, elle le plaça délicatement dans un petit sac de velours rouge qu'elle avait acheté pour cet usage, et le glissa dans le tiroir de la table de nuit. Désormais, il leur suffirait d'évoquer ce petit sac rouge pour se préparer à de nouveaux moments torrides...
G.

Vous voulez vous immiscer dans la chambre à coucher d'Audrey et Guillaume afin de voir l'utilisation qu'a faite Audrey de son bijou ?

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Commentaires

  1. Magnifique fin à ce beau tableau, Audrey est une vrais coquine, qui sait mettre ses charmes et atouts pour faire monter le plaisir de Guillaume. Camerone1831

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