La tenue des jeux olympiques à Paris en 2024 fut une source
d’inspiration même pour les clubs échangistes. C’est pour surfer sur ce thème
que l’un d’entre eux décida d’organiser une soirée intitulée « Les jeux Glory Holympiques ». Le jeu de mot était facile mais prometteur d’une
soirée consacrée à des jeux qu’Audrey appréciait.
Elle n’eut pas trop de difficultés à convaincre Guillaume
d’y participer. Audrey s’inscrivit donc pour les deux épreuves de la soirée.
Cinq autres participantes firent de même.
La soirée débuta de manière très classique par une animation
musicale. Puis lorsque les corps furent suffisamment chauds, le DJ annonça la
tenue de la première épreuve.
Celle-ci nécessitait la participation des conjoints de
chacune des participantes. L’animatrice invita donc les six hommes à rejoindre
l’espace des glory hole puis à se placer d’un côté du mur à trous. Après avoir
retiré chaussures, pantalon et slip, chacun d’entre eux introduisit son sexe
dans l’une des ouvertures prévues à cet effet.
L’animatrice invita ensuite les participantes à se
positionner à genoux de l’autre côté du mur à trous, chacune devant un orifice
duquel sortait un sexe masculin. Un petit coussin avait été judicieusement posé
au pied des ouvertures afin de ménager les genoux de ces dames. Pour pimenter
le jeu, aucune des participantes n’était face au sexe de son conjoint. Le but
de l’épreuve consistait pour les dames à faire jouir le plus rapidement
possible le sexe qu’elles avaient devant elle. Fellation, masturbation, peut
importe la technique, l’objectif était d’être la première à recueillir le
précieux nectar.
Au top départ, toutes les participantes débutèrent par une
fellation afin de mettre ces messieurs en conditions. Par la suite les
techniques se diversifièrent alternant fellation et masturbation. L’une d’entre
elle, à la poitrine généreuse, tenta même une masturbation entre ses seins.
Les autres clients du club regardaient ce spectacle avec
attention et une certaine excitation, les hommes s’imaginant à la place des
participants et les femmes encourageant leurs consœurs.
Audrey resta sur la fellation, technique qu’elle maîtrisait
bien. Le mur troué la séparant de son partenaire de jeux l’empêchait cependant
d’utiliser sa botte secrète consistant à regarder dans les yeux son partenaire
avec un sourire des plus coquins. Audrey n’avait pas non plus l’habitude d’être
ainsi regardé par du public dans ses jeux coquins ce qui l’excitait et la
déconcentrait à la fois.
L’activité de ces dames ne faiblissait pas. Des râles
commençaient à se faire entendre de l’autre côté de la cloison annonçant une
fin prochaine de l’épreuve. Toutes les participantes redoublaient d’énergie
dans la pratiques de leur va-et-vient, qu’il soit buccal ou manuel. Puis un cri
transperça la paroi et l’une des participantes se retourna prestement vers les
spectateurs et l’animatrice, arborant fièrement des traces de spermes sur sa
bouche.
Audrey n’avait donc pas gagné la première épreuve. Mais elle
se rappela alors la philosophie de Pierre de Coubertin, créateur des jeux
olympiques modernes, qui dit en son temps que l’important était de participer.
Dans son cas, l’important était de prendre du plaisir. Même si elle n’était pas
la première à faire jouir son coéquipier, elle décida de continuer jusqu’à ce
qu’il jouisse. Un coureur à pieds ne s’arrête pas lorsque le premier à franchi
la ligne d’arrivée et continue jusqu’à la franchir lui-même.
La gagnante de l’épreuve, avec encore un peu de sperme au
coin des lèvres vint alors rejoindre Audrey pour l’aider dans son épreuve. Le
valeureux candidat situé derrière la cloison eut donc le plaisir d’une
« fellation sandwich » avec deux bouches autour de son sexe. Sentant
l’arrivée du plaisir, la gagnante de l’épreuve se retira, laissant Audrey
profiter seule du précieux nectar. Elle continua donc de s’activer sur le sexe
offert à sa bouche jusqu’à ce qu’une décharge de sperme lui remplisse la
bouche.
L’épreuve terminée, chacun quitta son côté de mur pour
retrouver son conjoint et se rejoindre au bar où un rafraichissement fut offert
par le club aux participants tant féminins que masculins.
La soirée repris son cours et tout le monde se retrouva de
nouveau sur la piste de danse. Mais ce n’était là que la première épreuve et
une seconde attendait les participantes, sans leur conjoint cette fois-ci.
Une nouvelle fois le DJ arrêta la musique et annonça la
seconde épreuve. L’animatrice arriva alors avec un énorme dé à 20 faces en
mousse. Elle était accompagné d’un jeune homme nu laissant voir une plastique
irréprochable et un sexe d’un fort beau gabarit quoiqu’encore au repos.
Le jeune homme s’étendit sur le dos
sur l’un canapé des coins câlins et l’animatrice demanda aux participantes de
la rejoindre près du jeune homme. Elle leur expliqua alors la règle de cette
seconde épreuve. Tour à tour, dans un ordre défini par un tirage au sort,
chacune des femmes lancerait le dé et serait alors autorisée à pratiquer un
certain nombre de va-et-vient manuels sur le sexe du jeune homme, nombre défini
par le dé. Par exemple, ajouta-t-elle, si vous lancez le dé et qu’il s’arrête
sur le 12 vous aurez le droit de pratiquer avec votre main une douzaine de
va-et-vient sur le sexe de notre ami. La gagnante sera celle qui par son
va-et-vient fera jouir ce monsieur. Il est évident que plus vous lancerez le dé
et plus vous ferez de grands nombres, plus vous aurez de chance de gagner !
La gagnante remportera deux entrées pour le club. Que la chance et le plaisir vous
accompagne conclut-elle !
Chacune leur tour les participantes commencèrent à lancer le
dé et à masturber le jeune homme. Lorsque le jet de dé aboutissait au chiffre
« un » il était accompagné d’éclats de rires. Lorsque le nombre
approchait du chiffre vingt des « Ohhhh » venaient du public. Mais le
jeune homme, bien qu’arborant une magnifique érection semblait rester de
marbre.
Chaque lancé de dé était l’occasion de tester différentes
techniques de masturbation, tantôt rapide, tantôt lente, découvrant le gland en
totalité, parfois non. Comme pour la première épreuve, les spectateurs étaient
attentifs au spectacle offert. Une des participantes tenta même un baiser sur
le sexe mais fut vite rabrouée par l’animatrice. Il fallu attendre que le
hasard aboutisse à une série de jets successifs aux nombres élevés pour voir le
jeune homme frémir.
La fin était donc proche. Les participantes lançaient le dé
de plus en plus vite afin d’augmenter leur chance de voir le jeune homme
craquer et arriver au plaisir, ce qui ne manqua pas d’arriver. Lors de la dernière
masturbation aboutissant à l’éjaculation, la dernière joueuse inclina le sexe
du monsieur en direction de son torse glabre et c’est en de longues saccades
qu’il jouit, maculant sa poitrine de sa semence.
Sans s’être concertées, les six participantes vinrent alors
lécher le torse du jeune homme pour y savourer les précieuses giclées de sperme.
Audrey ne fut pas non plus la gagnante de cette épreuve. Mais elle s’en moquait
tant elle avait pris du plaisir à participer à ces jeux qui l’avaient mise dans un
état d’excitation hors du commun.
Guillaume allait devoir désormais assurer…
Waou !!! quelle soirée et quel récit, dont Guillaume a le don d'écrire avec beaucoup d'élégance et d'érotisme, mais si celui-là est assez "hard"
RépondreSupprimerQuelle adorable coquine, notre douce Audrey, toujours prête à rendre "service ... 😇
Au plaisir de redécouvrir la deuxième partie d'Audrey en cuisine, que j'ai eu le privilège de voir rapidement.
Très coquinement,
Didier, toujours immobilisé ... 😤
Quelle soirée les Coquins… 😇
RépondreSupprimerEt bien qu'elle soirée intéressante vous avez du prendre beaucoup de plaisir j'imagine bisous à vous.
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