Rêve de Cap

 
Le repas dans un restaurant du Cap s’achevait et il comme il se doit dans un tel lieu, il avait été propice à quelques exhibitions. La nuit était tombée et il était l’heure de rentrer à l’appartement. C’est donc main dans la main qu’Audrey et Guillaume remontèrent tranquillement jusqu'à leur studio loué pour le week-end.
 
La coursive était éclairée par les baies vitrée de nombreux studios où l’on pouvait y apercevoir de nombreux couples occupés à boire l’apéritif ou à faire la fête.
Un peu plus loin, dans un espace moins éclairé de la coursive, trois hommes s’affairaient autour d’une femme peu habillée. Penchée en avant elle recevait les honneurs de l’un d’entre eux, le pantalon sur les chevilles, tandis que les deux autres étaient occupés à lui caresser la poitrine qu’elle avait dénudée.
 
Ainsi positionnés, ils barraient le passage de la coursive. Audrey, ne voulant pas les déranger, s’arrêta non loin d’eux et commença à contempler ce spectacle. Sa vue s’était habituée à la pénombre et elle profitait pleinement du spectacle qu’elle trouvait fort excitant. Guillaume, debout derrière elle, l’enlaçait.
 
De nombreuses minutes s’écoulèrent durant lesquelles le regard d’Audrey ne put se détacher de cette scène hypnotique. Jusqu’à ce que l’un des deux hommes occupé à caresser la poitrine de la coquine ne remarque Audrey et Guillaume.
 
Se détachant du petit groupe, il s’avança vers Audrey et d’un ton autoritaire lui lança : « ça t’excite de nous voir ? ». Avant même qu’elle n’ait eu le temps de répondre, il ajouta « et bien viens me sucer ! ». Joignant le geste à la parole, il fit glisser la fermeture éclair de son pantalon et en sorti un sexe en semi érection. Audrey aurait pu reculer ou refuser mais elle était comme tétanisée… et très excitée. Elle se mit donc à genoux devant cet inconnu, prit son sexe dans sa bouche et entreprit de le faire bander. Il ne fallut pas très longtemps pour qu’il devienne dur. Audrey continua sa fellation pendant un assez long moment jusqu’à ce que l’homme retire son sexe de la bouche d’Audrey et lance à Guillaume un tonitruant « elle suce, bien ta femme ! ». Puis s’adressant à Audrey : « maintenant j’aimerais que tu lèches la chatte de ma copine ! ».
 
Se retournant vers la femme qui n’avait pas bougé, toujours appuyée sur le mur de la coursive, il lui inséra deux doigts dans le sexe que l’un des deux hommes venait de libérer avant de les introduire dans la bouche d’Audrey pour qu’elle les lèche et goûte ainsi aux sécrétions.
 
Une nouvelle fois Audrey, obéissante, s’agenouilla derrière la femme et commença un cunnilingus. Le sexe de la belle était bien lubrifié et la langue d’Audrey prenait plaisir à venir lécher les grandes et petites lèvres de sa partenaire. Le spectacle était excitant mais vraisemblablement pas assez pour le compagnon de la demoiselle. D’une main ferme, il prit Audrey par l’épaule, la releva puis la poussa vers le mur de la coursive afin qu’elle s’y appuie à son tour, comme sa voisine.

L’homme coiffa son sexe - qu’il avait toujours sorti du pantalon - d’un préservatif ; il vérifia de deux doigts l'état de lubrification du sexe d'Audrey et, constatant l'abondance de ses sécrétions, eut un petit sourire et la pénétra fermement. S’agrippant à ses hanches, il commença à la lutiner de manière énergique. Guillaume n’avait pas bougé, fasciné et surpris par le spectacle qu’Audrey lui offrait.

Au bout de quelques minutes de pilonnage intensif, l’homme arriva à la jouissance dans un cri que tous les voisins durent entendre. Il se retira, poussa Audrey vers Guillaume et sans autre forme de procès leur souhaita une bonne soirée, tout en retournant vers sa compagne toujours sollicitée par les deux autres hommes.

La scène n’avait durée que quinze à vingt minutes maximum mais elle avait été d’une rare intensité émotionnelle. En repartant sur la coursive, Audrey en avait encore les jambes qui chancelaient !

Deux choses étaient certaines : d’une part, ils n’auraient pas besoin d’inviter des libertins ce soir pour s’émoustiller tant l’excitation de ce qu’ils venaient de vivre étaient forte et d’autre part, ils se souviendraient longtemps de cette soirée…
G.

Commentaires

  1. Nous avons le plaisir de découvrir ces coursives, où il se passe beaucoup de "choses", lors de nos séjours au Cap.
    Vous racontez très bien avec beaucoup de détails ce passage, il ne manque que quelques photos pour être avec vous ... 😇
    Avec plaisir de vous avoir "offert" cette petite pub sur notre blog.
    Sensuellement,

    Marylen & son Homme 👄😍👄

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