Le bar

 

En villégiature dans cette métropole, Audrey et Guillaume avaient décidé d’en découvrir aussi les plaisirs nocturnes, notamment les plaisirs libertins, en se rendant dans un club échangiste. Leur choix s’était porté sur un club dont la réputation n’était plus à faire.

Il était situé dans une rue piétonne du centre ancien. Après être passés par le vestiaire pour se dévêtir, ils se retrouvèrent au bar pour boire un verre et appréhender l’atmosphère des lieux. La clientèle était soignée et l’ambiance feutrée. Les hommes étaient élégamment vêtus et les femmes portaient toutes de la lingerie ou des robes sexy.

Après avoir devisé avec le barman, ils prirent leurs verres à la main et décidèrent de visiter le club. La piste de danse était spacieuse et le DJ faisait de son mieux pour animer cet espace. Un peu plus loin, se trouvait un espace plus cosy avec de nombreux canapés offrant aux couples la possibilité de boire un verre plus tranquillement et de faire connaissance. Un second bar ornait le fond de cet espace juste à côté d’un couloir donnant ensuite accès aux divers coins câlins.

Avant d’entamer la découverte des coins câlins sans avoir leur verre à la main – ces dernières pouvant leur être utiles pour d’autre usages - ils s’arrêtèrent un instant à ce second bar, plus calme pour terminer leur cocktail. A peine arrivés, la barmaid leur expliqua que ce bar était réservé aux hommes. Ils n’avaient en effet pas remarqué que seuls des hommes étaient accoudés au comptoir. Ils s’excusèrent, expliquant découvrir le club et ne pas en connaître les coutumes.

La barmaid ne s’en offusqua pas et conseilla à Guillaume de rester au bar tout en ajoutant que si Audrey souhaitait rester elle aussi, elle l’invita à passer de l’autre côté du bar. Audrey ne comprit pas, mais ne souhaitant pas quitter son époux, suivit les conseils de la barmaid.

En arrivant derrière le bar, elle comprit immédiatement la situation. Elle y trouva quelques clientes – vraisemblablement les compagnes des messieurs accoudés au comptoir - occupées à prodiguer des fellations à des sexes sortant de trous situés sous le bar.

 

Le bar était en fait un « glory hole » ! Les messieurs se rapprochaient du bar, sortaient leur sexe, et le glissait dans les trous présents dans le bar à cet usage. Ainsi, tout en buvant un cocktail et devisant avec leur voisin, ils pouvaient se faire faire une gâterie. « Si ce n’est pas le bonheur masculin, cela ne doit pas en être loin » pensa alors Audrey.

Elle s’agenouilla sur un des coussins situés derrière le bar, au pied d’un trou, et s’apprêta à jouer avec le sexe qui sortait devant ses yeux. Un peu surprise par la situation, elle en oublia où se trouvait Guillaume par rapport aux autres hommes. De plus, la pénombre sous le bar, ne lui permettait guère de reconnaître le sexe de son époux. Mais qu’à cela ne tienne, un sexe est un sexe et, passablement excitée par la situation, elle entama une fellation.

Le sexe, un peu mou au départ, ne tarda pas à durcir sous ses coups de langue. Elle s’appliqua alors à lui prodiguer une gâterie dont elle raffolait ! Son propriétaire semblait apprécier la situation. Elle mit beaucoup d’énergie et d’application dans cette tâche. Mais au moment où Audrey pensait l’avoir amené à la jouissance, le sexe se retira. Ce monsieur ne souhaitait visiblement pas jouir de la sorte…

Qu’à cela ne tienne. Juste à côté se trouvait un autre sexe en érection qui semblait quémander une bouche gourmande. Audrey était la femme de la situation ! Elle commença par en titiller le gland, lapant au passage quelques gouttes de liquide séminal, puis ouvrant grand la bouche l’avala presque entièrement. Il était dimensionné pour sa bouche ! Pendant de longues minutes elle alterna les gorges profondes avec quelques jeux de langue dont elle avait le secret. Aidée de sa main elle accéléra ensuite le rythme. Cette fois-ci le propriétaire du sexe ne semblait pas opposé à jouir dans sa bouche, ce qu’il fit assez rapidement.

Ce bar était un prélude des plus agréables à la soirée ! Audrey se releva, chercha Guillaume du regard et une fois réunis, ils décidèrent de rendre une petite visite aux coins câlins. Mais cela, c’est une autre histoire…